Et grâce à notre sensibilité désormais accrue, c’est notre pensée qui se renforce à son tour. L’obscurité du cinéma est comme une immense serre. Lorsqu’on sort d’une telle expérience cinématographique « tropicale », en retournant au monde réel, on réalise de façon incontestable mais sans pouvoir le décrire que quelque chose s’est torsionné, a changé, que quelque chose s’est déplacé.